En haut : Maria Blancard, Frédéric Blancard, Madeleine
Blancard.
Debout au milieu : André Boullé, Pierre de la Hogue, Thérèse
Blancard, Jean Blancard, Agnès Blancard, Henri Blancard.
Assis : Claire Blancard, Joseph Blancard, Nemours Blancard,
Augustine Boyer de la Giroday, Marie-Ange Blancard.
Qui pourra me dire qui se trouve sur la photo ? Je peux reconnaître André Boullé en blanc, fumant la pipe et sur sa gauche Claire Blancard, son épouse. Je pense que Marie-Ange est près de Claire, et que Louis Boullé est l'enfant près du poteau ; pour les autres personnes dites-moi si vous savez qui elles sont.


Cherchez dans les manchettes du site
suivant, celle écrite par Alain Blancard
http://www.thelasource.com
Alain Blancard, fils de
Frédéric Blancard et petit-fils de Nemours, nous raconte avec beaucoup de talent
des histoires plaisantes, intéressantes et drôles.
Elles vous
rappelleront, peut-être, celles qui ont couru chez tous les descendants et
alliés de Nemours.
Cette revue électronique
est bimensuelle.
Voici une des histoires
qui a déjà paru dans la rubrique et que j'ai lue en riant.
L’abrutissement sérieux de nos
jours affairés fondent comme de la glace au soleil devant la simplicité d’un
moment joyeux que suscite une histoire drôle. Pour savourer la plénitude et le
pesant d’or d’un pareil étalement il nous faut quitter notre conséquent et
retrouver l’ingénuité de notre esprit imaginatif. Le rire soulage, c’est certain, et sa
magie est pardonnable même si elle trouve son ressort au dépend d’un semblable ou dans une fin tragique!
Inspecteur des viandes pour le
compte du ministère de l’alimentation des colonies, Monsieur le vétérinaire,
accoutumé à flairer des chairs mortes, s’était octroyé le plaisir de faire
couver des œufs de poules par une mère oie en peine de maternité. Le succès de
son dessein s’affirmait avec panache par une douzaine de petites créatures en
plumes suivant à la queue leu leu leur mère adoptive insolite. Le savant de la
misère des bêtes avait bien compté douze poussins dans la couvée. Hélas, au fur
et à mesure que les jours avançaient, les poussins disparaissaient un à
un.
Curieux de cette tournure, le
vétérinaire somma son homme à tout faire de monter une garde permanente, jour et
nuit, pour élucider le mystère de cette disparition inexplicable. L’identité du
prédateur ne tarda guère. Dès le premier soir de sa garde, Kanou assista au
triste sort du cinquième poussin. Un chat de gouttière, attiré par l’aubaine
d’un repas innocent, bondit sur une des petites créatures et l’emporta au son
d’un cui cui funeste dans un avocatier hautain. Le combat livré par la mère
oie, pourtant belligérante n’y fit rien pour altérer le cours des
évènements.
Le serviteur réveilla par des
cris de joie le vétérinaire endormi. A la nouvelle qu’apportait Kanou, le
vétérinaire s’emballa. Il emprunta la torche enflammée que lui avait façonnée son
homme et vit distinctement le chat prédateur, l’air satisfait, perché sur une
branche bien feuillue de l’avocatier. Il ne perdit pas de temps et se saisit
d’un fusil. Il appuya le canon de l’arme mortelle sur l’épaule du serviteur et
tira. Le coup de feu réveilla toute la maisonnée qui se précipita aux balcons du
manoir familial pour voir grimper à l’arbre Kanou aux pieds nus qui redescendit
avec le chat défunt suspendu par la queue entre ses mains. Il déposa au pied de
l’arbre une pelote de fourrure inerte.
Pensant à ses poussins
survivants dont il était le sauveur, le vétérinaire chevalier servant se piquait
de sa dextérité au tir et se félicitait d’avoir servi au prédateur le sort qu’il
méritait. La bête, cependant, dans un ordre moral, n’avait rien fait de
criminel. Il était dans sa nature de fauve errant de tuer pour manger. Enfin,
nous étions loin de ces considérations là et le vétérinaire venait d’avoir une
bonne idée.
Il instruisit son serviteur de
porter le chat mort à la cuisine. Le sort final de l’animal attendra le
lendemain matin.
Dès l’arrivée des cuisiniers à
l’aube, le vétérinaire fit donner l’ordre de préparer le chat en civet ! Le
repas était prêt pour midi. Le civet bien arrosé de vins, fut déposé dans un
superbe plat en argent de cérémonie que le vétérinaire fit livrer à ses cousines
voisines contre qui, nous ne pouvons que penser, il nourrissait sans doute une
revanche lointaine.
Vers 17 heures, le vétérinaire
attendit à son balcon ses vieilles
cousines Joséphine, Claire et Marguerite qui se rendaient à pied,
quotidiennement, aux vêpres à
l’église de Saint Paul. Les cousines, d’allure un peu lourde, se confondèrent en
remerciements éclatants, pour le
délicieux « civet de lapin succulent. » La viande était si bonne
qu’elles se vantèrent d’en avoir mis de côté pour refaire bombance au repas du
soir.
Le vétérinaire annonça de
toute sa hauteur : "Cousines, vous avez mangé du
chat !"
Les demoiselles virevoltèrent
immédiatement de répulsion et retournèrent en courrant chez elles, se cachant le
visage. D’un seul coup, elles avaient
oublié les obligations de leur ferveur
religieuse…
Plus tard, elles
s’accommodèrent d’une indulgence chrétienne à l’égard de leur cousin, prêtant
cette expérience à l’avancement de sa science. Cependant, cette histoire aura tellement
marqué leur vie qu’elles l’ont racontée souvent dans ses moindres détails. Elle
est devenue une légende comique qui se perpétue de génération en
génération. C’est ainsi que je puis
vous la raconter aujourd’hui.
Merci
Alain pour le récit de cette facétie de Nemours !!
Je remercie tous ceux
parmi vous qui avez pris le temps de me donner vos détails.
Noms mis en ordre d'arrivée d'informations :
Merci à Guy
Boullé pour des informations concernant les Boullé et De La
Giroday.
Merci à Henri
Maurel (Loulou) pour des données Blancard.
Merci à Jan Boullé
et à Françoise Micouin pour avoir remonté plusieurs
générations de Boullé en France.
Merci à Marc
Ducray ( pour les Dubois de Jancigny), Jean-Paul Clairefond
(pour les de la Hogue)et à Guy de Richemont (pour les
Panon).
Merci à Alain
Biberon pour de nombreuses données généalogiques et de nombreuses
photos, Blancard, Biberon, Campenon et alliés.
Merci à
Vincent Tocanne pour l'information sur
Jean-Baptiste de Jancigny
Merci
à Véronique Biberon pour des données, des photos et le
témoignage de Madame Maurel.
Merci à
Catherine Mc Aloney née Blancard, Darlene Morrow née Blancard et Fred Hansford
pour des photos et données sur la famille de Louis Blancard.
Merci à Alain de
la Giroday pour des compléments sur la descendance de Pierre-Elie Boyer
de la Giroday.
Merci à Kimberley
MacKinnon, né Blancard et à Paulette Blancard, pour des photos et données sur la famille
d'Henri Blancard.
Merci à Thomas
Blanchet, pour des compléments de données généalogiques et les photos
d'Elisabeth Boisson, de Magdeleine Elisabeth Ciette de la Rousselière, de
Félicité Raux, d'Henriette Raux, de Louise Raux et de Hyacinthe
Blanchet.
Merci à Pierre Blancard
pour des compléments de données généalogiques sur la famille de Jean Blancard.
Veuillez, s'il vous
plaît, excuser les erreurs qui auraient pu se glisser dans la généalogie de
ce site et m'envoyer les données pour les rectifier.
Si vous voulez voir
figurer des personnes qui seraient omises, envoyez-moi les
informations.
Faites connaissance avec
vos cousins et cousines en cliquant sur les boutons suivants.
Ces deux pages ne sont pas
finies, j'y rajouterai des photos, n'oubliez pas d'y revenir !
Si vous voulez que
d'autres photos soient insérées dans ce site, envoyez-les moi.
Pour trouver votre
lignée dans la généalogie, cliquez sur la liste de noms puis sur votre
nom.
Soulevez le
coquillage pour avoir accès à la généalogie.
Un autre site à
visiter : http://perso.wanadoo.fr/henri.maurel pour
découvrir une mine de renseignements sur la généalogie des familles mauriciennes et avoir des recettes de
cuisine mauricienne.
Vous pouvez aussi
visiter le site de Marc Ducray à l'adresse suivante :
Vous pouvez voir les
vieilles photos de famille que Jean-Paul Clairefond a placées sur le site
suivant. Peut-être y trouverez-vous un ancêtre ? Cliquez sur Mathieu-de la
Hogue
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