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LA FAMILLE BLANCARD
C'est de Provence, (Figanières 83), que Joseph Pons Blancard, vient s'établir à l'Isle de France et épouser Marie-Antoinette Lemerle le 12 novembre 1803. Ils sont à la source de nombreux descendants, Blancard et autres familles.
La mairie de Figanières (Var)
Cliché de Henri Maurel
L' église de Figanières
Cliché de Henri Maurel
Voici la famille de Nemours Blancard, petit-fils de Joseph Pons,
avec sa première épouse : Elise Boyer de la Giroday, et leurs enfants.
Source : Marie-Claire Robert née Boullé
Voici une autre partie de la famille de Nemours Blancard cette fois-ci avec sa seconde épouse.
En haut : Maria Blancard, Frédéric Blancard, Madeleine Blancard.
Debout au milieu : André Boullé, Pierre de la Hogue, Thérèse Blancard, Jean Blancard, Agnès Blancard, Henri Blancard.
Assis : Claire Blancard, Joseph Blancard, Nemours Blancard, Augustine Boyer de la Giroday (seconde épouse de Nemours), Marie-Ange Blancard.
Photo prise à Mon Repos, Maurice
Claire Boullé née Blancard que tous ses enfants et petits-enfants appelaient "Mame".
Je ne pense pas me tromper en disant : en haut : Frédéric Blancard, André Boullé, Claire Boullé née Blancard, Marie-Ange Blancard, Maria Blancard.
en bas : Jo Blancard, Mady Boullé, Cécile Boullé et Louis Boullé.
Alain Blancard, fils de Frédéric Blancard et petit-fils de Nemours, nous raconte avec beaucoup de talent des histoires plaisantes,
intéressantes et drôles.
Elles vous rappelleront, peut-être, celles qui ont couru chez tous les descendants et alliés de Nemours.
Cette revue électronique est bimensuelle.
Voici une des histoires qui a déjà paru dans la rubrique et que j'ai lue en riant.
L’abrutissement sérieux de nos jours affairés fondent comme de la glace au soleil devant la simplicité d’un
moment joyeux que suscite une histoire drôle. Pour savourer la plénitude et le pesant d’or d’un pareil étalement il nous faut quitter notre conséquent et
retrouver l’ingénuité de notre esprit imaginatif. Le rire soulage, c’est certain, et sa magie est pardonnable même si elle trouve son ressort au dépend d’un semblable ou dans une fin tragique!
Inspecteur des viandes pour le compte du ministère de l’alimentation des colonies, Monsieur le vétérinaire, accoutumé à flairer des chairs mortes, s’était octroyé le plaisir de faire
couver des œufs de poules par une mère oie en peine de maternité. Le succès de son dessein s’affirmait avec panache par une douzaine de petites créatures en plumes suivant à la queue leu leu
leur mère adoptive insolite. Le savant de la misère des bêtes avait bien compté douze poussins dans la couvée. Hélas, au fur et à mesure que les jours avançaient, les poussins disparaissaient un à
un.
Curieux de cette tournure, le vétérinaire somma son homme à tout faire de monter une garde permanente, jour et nuit, pour élucider le mystère de cette disparition inexplicable.
L’identité du prédateur ne tarda guère. Dès le premier soir de sa garde, Kanou assista au triste sort du cinquième poussin. Un chat de gouttière, attiré par l’aubaine d’un repas innocent,
bondit sur une des petites créatures et l’emporta au son d’un cui cui funeste dans un avocatier hautain. Le combat livré par la mère oie, pourtant belligérante n’y fit rien pour altérer le
cours des évènements.
Le serviteur réveilla par des cris de joie le vétérinaire endormi. A la nouvelle qu’apportait Kanou, le vétérinaire s’emballa. Il emprunta la torche enflammée
que lui avait façonnée son homme et vit distinctement le chat prédateur, l’air satisfait, perché sur une branche bien feuillue de l’avocatier. Il ne perdit pas de temps et se saisit
d’un fusil. Il appuya le canon de l’arme mortelle sur l’épaule du serviteur et tira. Le coup de feu réveilla toute la maisonnée qui se précipita aux balcons du manoir familial pour voir
grimper à l’arbre Kanou aux pieds nus qui redescendit avec le chat défunt suspendu par la queue entre ses mains. Il déposa au pied de l’arbre une pelote de fourrure inerte.
Pensant à ses poussins survivants dont il était le sauveur, le vétérinaire chevalier servant se piquait de sa dextérité au tir et se félicitait d’avoir servi au prédateur le sort qu’il
méritait. La bête, cependant, dans un ordre moral, n’avait rien fait de criminel. Il était dans sa nature de fauve errant de tuer pour manger. Enfin, nous étions loin de ces considérations
là et le vétérinaire venait d’avoir une bonne idée.
Il instruisit son serviteur de porter le chat mort à la cuisine. Le sort final de l’animal attendra le lendemain matin.Dès l’arrivée des cuisiniers à
l’aube, le vétérinaire fit donner l’ordre de préparer le chat en civet ! Le repas était prêt pour midi. Le civet bien arrosé de vins, fut déposé dans un superbe plat en argent de cérémonie
que le vétérinaire fit livrer à ses cousines voisines contre qui, nous ne pouvons que penser, il nourrissait sans doute une revanche lointaine.
Vers 17 heures, le vétérinaire
attendit à son balcon ses vieilles cousines Joséphine, Claire et Marguerite qui se rendaient à pied, quotidiennement, aux vêpres à l’église de Saint Paul. Les cousines, d’allure un peu lourde,
se confondirent en remerciements éclatants, pour le délicieux «civet de lapin succulent» La viande était si bonne qu’elles se vantèrent d’en avoir mis de côté pour refaire bombance au repas du
soir. Le vétérinaire annonça de toute sa hauteur : "Cousines, vous avez mangé du chat". Les demoiselles virevoltèrent immédiatement de répulsion et retournèrent en courant chez elles,
se cachant le visage. D’un seul coup, elles avaient oublié les obligations de leur ferveur religieuse…
Plus tard, elles s’accommodèrent d’une indulgence chrétienne à l’égard de leur cousin,
prêtant cette expérience à l’avancement de sa science. Cependant, cette histoire aura tellement marqué leur vie qu’elles l’ont racontée souvent dans ses moindres détails.
Elle est devenue une légende comique qui se perpétue de génération en génération. C’est ainsi que je puis vous la raconter aujourd’hui.
Merci Alain pour le récit de cette facétie de Nemours !!
Il y a d'autres histoires, voir ci-dessus "en filigrane"
Je remercie tous ceux parmi vous qui ont pris le temps de me donner leurs détails.
Noms mis en ordre d'arrivée d'informations :
Merci à Henri Maurel (Loulou)pour des données Blancard. Veuillez, s'il vous plaît, excuser les erreurs qui auraient pu se glisser dans la généalogie de ce site et m'envoyer les données pour les rectifier. Faites connaissance avec vos cousins et cousines en cliquant sur le bouton suivant qui vous amènera à de nombreuses autres pages. Click on the button below, to open many Blancard pages. Meet your cousins. Ces pages ne sont pas finies, j'y rajouterai des photos, n'oubliez pas d'y revenir ! Those pages are endlessly revised. Don't forget to call in again ! Si vous voulez que d'autres photos soient insérées dans ce site, envoyez-les moi.
Merci à Alain Biberon pour de nombreuses données généalogiques et de nombreuses photos, Blancard, Biberon, Campenon et alliés.
Merci à Véronique Biberon pour des données, des photos et le témoignage de Madame Maurel.
Merci à Catherine Mc Aloney née Blancard, Darlene Morrow née Blancard et Fred Hansford pour des photos et données sur la famille de Louis Blancard.
Merci à Alain de la Giroday pour des compléments sur la descendance de Pierre-Elie Boyer de la Giroday.
Merci à Kimberley MacKinnon, née Blancard et à Paulette Blancard, pour des photos et données sur la famille d'Henri Blancard.
Merci à Pierre Blancard pour des compléments de données généalogiques sur la famille de Jean Blancard.
Merci à Janice Sigfusson pour des données sur les De La Giroday.
Merci à Guy De Richemont pour des compléments sur la famille De La Giroday.
Si vous voulez voir figurer des personnes qui seraient omises, envoyez-moi les informations.
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