Dans certaines régions de France au Moyen-Age, c'était le nom donné à un récipient pourvu d'un goulot, mais aussi le sobriquet d'un buveur.
On retrouve des documents très anciens concernant les BIBERON (actes notariés) dans les Yvelines et en Seine-et-Marne, mais aussi dans l'Aisne et la Mayenne.
C'est en Seine-et-Marne que les familles BIBERON furent les plus nombreuses à ma connaissance, voir essais généalogiques sur les familles BIBERON de Rozay-en-Brie, Villeneuve et Bellot et Branches diverses.
Source : Alain Biberon
Je tente de localiser la famille de mon ancêtre Jacques BIBERON, Maître sculpteur qui s'est fixé à Bordeaux pour une raison que j'ignore.
Jacques BIBERON est né à Paris,vers 1653 au faubourg Saint-Germain. Je ne connais pas le prénom de son père ni le nom de famille de sa mère. Son acte de baptême a disparu au cours des incendies, qui ont détruit les Archives de la ville de Paris et du département de la Seine. D'autre part aucun des documents découverts à ce jour dans les Archives de la Gironde ne mentionne ses parents.
En attendant de remonter plus haut, c'est donc avec Jacques BIBERON (1653-1704) que commence l'histoire de notre branche que j'ai essayé de raconter en réunissant des documents et des témoignages au fil des ans.
Source : Alain Biberon Jacques Biberon (1653-1704) :
Pour être Maître sculpteur au XVII ème siècle, il fallait être catholique, avoir fait son temps d'apprentissage ou de compagnonnage.
L'enfant commençait à apprendre le métier vers douze ans. Il fallait exécuter un chef d'oeuvre qui était soumis à un certain nombre
d'anciens qui interrogeaient le candidat. Il fallait aussi payer des droits très élevés. Une fois installés, les maîtres jouissaient
de tous les droits corporatifs, assistaient aux assemblées et prenaient part aux élections. Les maîtres de Paris pouvaient exercer
leur métier dans tout le royaume.
Le 19 septembre 1686, Jacques BIBERON a participé à la réunion des sculpteurs de Bordeaux, décidés à défendre leurs privilèges contre les maîtres menuisiers.
Il a épousé le 20 avril 1687 dans l'église Saint-Michel de Bordeaux, Marie CAILLY, fille de Nicolas, maître vigneron et de Marguerite LONEL.
Monsieur Paul ROUDIE dans son étude "Recherches sur la sculpture à Bordeaux aux XVII ème sièle", parue dans la revue historique de Bordeaux
et des départements de la Gironde, mentionne un fait concernant Jacques BIBERON : Il apparaît dans une affaire évoquée devant le tribunal des
jurats de Bordeaux en 1688, pouravoir écrit une lettre à MAGNIER, sculpteur de Paris et membre de l'académie royale, en utilisant le nom
d'un autre sculpteur parisien Mathurin REBOURG, de passage à Bordeaux, qui logeait chez lui. M Paul ROUDIE a écrit à propos de cette lettre,
je cite : " C'est une attaque sournoise mais peut-être pas dénuée de tout fondement contre les peintres et sculpteurs de Bordeaux, qui voulaient
fonder une académie. Il s'agissait de les discréditer aux yeux des académiciens parisiens auprès desquels ils comptaient trouver appui. ".
Une pièce annexée au dossier pour permettre de reconnaître l'écriture de Jacques BIBERON, et une quittance de 22 livres 10 sols,
donnés par celui-ci, le 30 avril 1688, nous apprend sans plus de précision qu'il avait travaillé pour les religieuses de Notre-Dame.
Antoine LEBLOND de LATOUR, peintre du Roi et membre de l'académie royale fut nommé le 30 juin 1688, procureur des peintres et sculpteurs de Bordeaux
pour les défendre contre la diffamation voulant faire échouer leur association. Lors de l'enquête effectuée par les jurats de Bordeaux le 23 juillet 1688,
Michel PAUL, maître sculpteur, et Auguste CAMERER, maître doreur, avaient fait une déposition. D'après leurs déclarations, quelques semaines plus tôt,
Jacques BIBERON, après avoir assisté aux vêpres dans l'église des pères capucins, aurait reconnu êre l'auteur de la lettre et aurait menacé d'en écrire
une autre au chancelier de Paris si on le fâchait.( D'après le nom que l'on peut lire dans le document,je pense qu'il s'agit de LOUVOIS,1641-1691,
ministre et secrétaire d'état, chancelier du St-Esprit en 1671.)
Mathurin REBOURG, maître sculpteur de Paris, qui porta plainte et désigna Jacques BIBERON comme l'auteur du libellé diffamatoire, céda ses droits
de relaxance (décision d'un tribunal déclarant un prévenu non coupable), le 25 août 1688, à Bernard LAFARGUE, dans l'action entreprise contre lui
par les peintres et sculpteurs de Bordeaux.
Je ne sais pas si des sanctions furent prises à l'encontre de Jacques BIBERON, je n'ai pas retrouvé de document à ce sujet, mais finalement en 1690,
des lettres patentes ne créèrent qu'une très officielle "Ecole académique de peinture et sculpture" à Bordeaux, comprenant 12 professeurs et 3 adjoints.
Le 15 octobre 1688, Jacques BIBERON a été l'un des témoins pour un contrat passé entre la Fabrique Sainte-Croix et un orfèvre Arnaud SARMANSAN, pour la confection
d'une chasse en argent pour la tête de Saint-MAMMOLIN.
Jacques BIBERON logeait rue des Vignes dans la paroisse Saint-Michel. Sainte-Croix et Saint-Michel étaient les quartiers des gens de métier et du peuple.
En 1689, Jacques BIBERON est reçu à la confrérie Saint-Jacques-de-Compostelle à l'église Saint-Michel de Bordeaux. Monsieur de MENSIGNAC a écrit à son
sujet dans son étude sur cette confrérie, parue dans le tome XXII de la Société Archéologique de Bordeaux, qu'il est l'un des plus remarquables
(sans plus de précision) il faisait probablement allusion à ses années de présence. Le registre 580 aux archives municipales de Bordeaux,
que j'ai consulté mentionne que Jacques BIBERON a été membre de cette confrérie pendant quinze ans, de 1689 à 1704, année de son décès.
La confrérie Saint-Jacques de Compostelle était très puissante et très importante ; il fallait généralement pour y être inscrit avoir fait
le pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle en Galice. La confrérie assumait les oeuvres d'assistance mutuelle, l'aide matérielle et morale
aux confrères malades ou pauvres, la participation financière et spirituelle aux obsèques et aux oeuvres de salut au bénéfice du défunt.
Le 28 octobre 1692, Jacques BIBERON a participé à la réunion des peintres et sculpteurs de Bordeaux non membres de l'école académique.
En 1694, il logeait dans la maison de DULIER, rue du Palais GALLIEN dans la paroisse Saint-Seurin.
Le faubourg abritait de nombreux artisans libres qui trouvaient dans la sauveté, une protection contre les tracasseries des corporations sur une simple autorisation du juge.
Le 12 novembre 1695, Jacques BIBERON a assisté à la cérémonie de mariage de son beau-frère Charles CAILLY, maître vigneron, avec Catherine DUBERNOIS,
fille de Pierre, cordonnier, dans l'église de Sainte-Eulalie. Le maître vigneron était un personnage important qui avait la responsabilité
des travaux viticoles, qui était effectué par quatorze ouvriers vignerons.
En 1698, Jacques BIBERON logeait dans la maison de Jean BLONDIN, rue du Palais Gallien dans la paroisse Saint-Seurin.
Jacques BIBERON est décédé à l'hôpital Saint-André de Bordeaux, après six jours d'hospitalisation le 26 décembre 1704, il avait 51 ans environ.
On a un inventaire de ses effets, mentionné dans le registre d'entrée de l'hôpital Saint-André :"Un manteau bleu, un justaucorps de drap gris,
une veste musc, une culotte bleue, des bas neufs à broches, des souliers, un chapeau, une chemise."
Alain BIBERON : CD du 22 février 2005, dossier : Descendance de Jacques Biberon. Voici trois générations de sa descendance.
|---11-Nicolas BIBERON n. 29 Déc. 1687, Bordeaux, France, d. 5 Juil. 1737, Bordeaux, France + Anne VIERDEAU , par. André VIERDEAU et Magdeleine DUFFIN
|---111-Catherine BIBERON n. 1715, Bordeaux, France, d. 28 Juil. 1763, Bordeaux, France + Vital RICHARD
|---1111-Suzanne RICHARD n. 19 Mai 1742, Bordeaux, France
|---112-François BIBERON n. 8 Mars 1719, Bordeaux, France, d. 26 Nov. 1766, Bordeaux, France + Jeanne BOIVAN , par. Pierre BOIVAN et Marie NEVAC
|---1121-Vital BIBERON n. 26 Sep. 1753, Bordeaux, France
|---1122-Jean BIBERON n. 16 Sep. 1755, Bordeaux, France
|---1123-Marie BIBERON n. 2 Nov. 1758
|---1124-Marie BIBERON n. 1763, d. 28 Juin 1766, Bordeaux, France
|---113-Nicolas BIBERON n. 13 Mai 1721, Bordeaux, France + Catherine DUMAS n. Agen
|---12-Antoine Emmanuel BIBERON n. 10 Sep. 1689, Bordeaux, France, d. 8 Mai 1694, Bordeaux, France
|---13-Marthe BIBERON n. 9 Avr. 1692, Bordeaux, France, d. 24 Juin 1694, Bordeaux, France
|---14-Catherine BIBERON n. 19 Fév. 1694, Bordeaux, France, d. 22 Nov. 1768, Bordeaux, France + Nicolas FERRAND DE VIGNAUCOURT , par. Philippe FERRAND DE VIGNAUCOURT et Jeanne GOLIN
|---141-Jean Baptiste FERRAND n. 1718 +Jeanne ROUSSEAU , par. Pierre ROUSSEAU et Marie CARDILLAC
|---1411-Nicolas FERRAND n. 4 Juil. 1744, Bordeaux, France, d. 14 Août 1752, Bordeaux, France
|---1412-Catherine FERRAND n. 29 Jan. 1746, Bordeaux, France
|---1413-François FERRAND n. 6 Mars 1748, Bordeaux, France, d. 9 Juin 1750, Bordeaux, France
|---1414-Etienne FERRAND n. 31 Jan. 1750, Bordeaux, France
|---1415-Louis FERRAND n. 6 Fév. 1753, Bordeaux, France
|---142-Catherine FERRAND n. 17 Déc. 1729, Bordeaux, France + Louis VARIN
|---1421-Catherine Alexandrine VARIN
|---1422-Catherine VARIN n. 28 Juin 1757, Bordeaux, France
|---15-Michel BIBERON n. 29 Jan. 1696, Bordeaux, France, d. 16 Sep. 1698, Bordeaux, France
|---16-Jean BIBERON n. 25 Jan. 1697, Bordeaux, France, d. 27 Août 1753, Bordeaux, France + Thérèse FORTUNE , par. Nicolas FORTUNE et Jeanne BOUSSAIN
|---161-Nicolas BIBERON n. 19 Août 1724, Bordeaux, France, d. 11 Déc. 1726, Bordeaux, France
|---162-Jeanne Rose BIBERON n. 26 Déc. 1725, Bordeaux, France, d. 1 Août 1742, Bordeaux, France
|---163-Catherine BIBERON n. 1 Déc. 1727, Bordeaux, France, d. 2 Déc. 1731, Bordeaux, France
|---164-Charles BIBERON n. 22 Juin 1730, Bordeaux, France, d. 19 Mars 1802, Bordeaux, France + Marie ROBERT DIT BEAUDOIN n. Chantillac, Charentes, par. Unknown et
Jeanne ROBERT
|---1641-Marie BIBERON n. 21 Mars 1762, Bordeaux, France, d. 18 Oct. 1763, Bordeaux, France
|---1642-Pierre BIBERON n. 27 Mai 1763, Bordeaux, France
|---1643-Jeanne Marie BIBERON n. 3 Déc. 1764, Bordeaux, France, d. 14 Août 1839, Rions, 33, France
|---1644-Jean-Baptiste BIBERON (voir plus bas) n. 25 Oct. 1767, Bordeaux, France, d. 19 Juil. 1826, Saint-Paul, Ile de la Réunion
|---1645-Jean BIBERON n. 1 Juin 1770, Bordeaux, France
|---1646-Jeanne Marie BIBERON n. 14 Jan. 1778, Bordeaux, France, d. 8 Avr. 1784, Bordeaux, France
|---165-Elisabeth BIBERON n. 31 Mai 1731, Bordeaux, France
|---166-Jean BIBERON n. 23 Jan. 1733, Bordeaux, France, d. 12 Juin 1741, Bordeaux, France
|---167-Antoine BIBERON DIT D'ARGENCOURT (voir plus bas) n. 4 Mai 1734, Bordeaux, France, d. Av. 1798, Canada + Marie Claire VACHER LACERTE , par. Guillaume VACHER LACERTE et Marie Catherine
|---1671-Marie Claire BIBERON DIT D'ARGENCOURT n. 12 Juil. 1759, Trois Rivières, Canada, d. 19 Août 1832, Trois Rivières, Canada
|---1672-Marie Louise BIBERON n. 3 Mars 1761, Trois Rivières, Canada
|---1673-Marie Catherine BIBERON n. 3 Mai 1762, Québec, Canada, d. 11 Sep. 1762, Québec, Canada
|---168-Marie BIBERON n. 18 Juin 1735, Bordeaux, France, d. 10 Mars 1744, Bordeaux, France
|---169-Françoise BIBERON n. 26 Août 1736, Bordeaux, France
|---16A-Jeanne BIBERON n. 16 Avr. 1738, Bordeaux, France
|---16B-Simon BIBERON n. 30 Mai 1739, Bordeaux, France, d. 20 Juil. 1741, Bordeaux, France
|---16C-Jeanne BIBERON n. 24 Jan. 1741, Bordeaux, France
|---16D-Marguerite BIBERON n. 9 Jan. 1743, Bordeaux, France, d. 8 Sep. 1776, Bordeaux, France + Guillaume REVESIES
|---17-Jeanne BIBERON n. 9 Jan. 1700, Bordeaux, France, d. 16 Jan. 1700, Bordeaux, France
|---18-Suzanne BIBERON n. 20 Mars 1701, Bordeaux, France, d. 21 Avr. 1706, Bordeaux, France
|---19-Jean Baptiste BIBERON n. 21 Oct. 1704, Bordeaux, France, d. 8 Jan. 1705, Bordeaux, France
Recherches faites par Alain Biberon, CD du 22 février 2005, dossier : Descendance de Jacques Biberon. Antoine Biberon dit d'Argencourt (1734-1798) , petit-fils de Jacques Biberon:
Trois-Rivières, fondée par LAVIOLETTE en 1634 était une petite ville de quelques centaines d'habitants, bâtie sur du sable. Il y avait un gouverneur, un lieutenant
du Roi, et un major pour le gouvernement, une assez belle église paroissiale, désservie par les Recollets (ces derniers avaient la sympathie et l'estime des habitants et des soldats.)
Antoine BIBERON a-t-il rencontré l'amour chez un paysan canadien ? Le 07/08/1758, il a épousé à Trois-Rivières, Claire VACHER, fille de Guillaume et de Marie Catherine DUPUY.
Un contrat de mariage a été rédigé le 6 aout par le notaire de la juridiction royale de Trois-Rivières en présence, d'une part :
Antoine BIBERON dit d'Argencourt, accompagné de Nicolas GODART,et de Pierre DESCLAUT, ses amis,soldats de la garnison.
D'autre part :
Guillaume VACHER, stipulant pour sa fille Claire, accompagné de Jean-Baptiste et Elisabeth VACHER et de Charles AUCLAIR.
La lecture du contrat nous apprend que selon la coutume de Paris, qui était en vigueur à la Nouvelle-France, la future épouse a
été dotée du douaire du domaine coutumier ou de la somme de quatre cents livres suivant son choix et que le préciput a été égal
et réciproque de la somme de trois cents livres à prendre et percevoir par le survivant. Le douaire était d'anciens biens assignés en usufruit par le mari à sa femme survivante.
Le préciput était un droit reconnu à certaines personnes, appelées à un partage de prélever avant celui-ci une somme d'argent ou certains biens, de la masse à partager.
La cérémonie du contrat de mariage était un événement qui avait lieu chez le père de l'un des futurs. Les invitations pour la signature du contrat
et la cérémonie religieuse étaient envoyées plusieurs semaines à l'avance en raison de la lenteur du courrier et des grandes distances. La guerre dite des sept ans sévissait . Jusqu'en juillet 1758, la guerre menée à la canadienne procura de nombreuses victoires aux forces françaises, mais quand
s'imposa la stratégie européenne tous les forts tombèrent aux mains des anglais, et à la fin de l'été 1758 commença la débacle française.
Une armée anglaise de 40.000 hommes, montée sur 150 bâtiments, assièga Québec en juin 1759, qui finit par capituler.
Le 10 février 1763, le traité de Paris céda à l'Angleterre : l'Inde et le Canada. Au Canada, l'artisan n'était pas soumis
au monopole des maîtrises et des jurandes et pouvait être possesseur d'un atelier, d'une boutique. L'artisan n'avait pas besoin de subir un examen,
de justifier d'un apprentissage, après avoir pratiqué pendant six ans, il était réputé "Maître de chef d'oeuvre".
Les heures régulières de travail étaient en général du soleil levant au soleil couchant. Divers actes notariés nous renseignent sur sa vie au Canada :
Recherches faites par Alain Biberon, CD du 22 février 2005, dossier : Descendance de Jacques Biberon. Ci-dessous, Recherches sur Jean-Baptiste Biberon faites par Alain Biberon, CD du 22 février 2005, dossier : Descendance de Jacques Biberon. Jean Baptiste BIBERON (1767-1826)
Arrière petit-fils de Jacques Biberon (1653-1704) Capitaine de marine marchande Jean Baptiste BIBERON est né le 25 octobre 1767 dans la paroisse Sainte-Croix à Bordeaux ; il eut pour parrain : Jean Baptiste FERRAND et pour marraine : Catherine GIRAUD. Il commence à naviguer dès l'âge de 13 ans. En1780, c'est la guerre d'Amérique, appelée aussi guerre d'indépendance américaine (1778-1783) ; toutefois les mers deviennent plus sures, et le commerce colonial reprend.
Jusqu'en 1784, les armateurs étaient obligés d'embarquer un nombre déterminé de novices. Les équipages bordelais étaient plus composés de bretons, de charentais et de basques que de girondins. Ceux-ci n'étaient nombreux que parmi les tonneliers et les charpentiers,
qui en tant qu'officiers non mariniers mettaient la main de l'artisan qualifié au conditionnement et à l'arrimage de la cargaison et aux réparations indispensables en mer.
Les quartiers de Saint-Michel et Sainte-Croix fournissaient ces gens de métier indispensables à la réussite du voyage. Les premiers actes concernant Jean Baptiste BIBERON, que j'ai découvert mentionnaient qu'il était charpentier de marine.
La vie était très dure à bord des navires en raison des maladies : scorbut et dysentrie, des conditions de ravitaillement et d'hygiène. La discipline était grande. Sur les navires de commerce
de l'océan Indien, le taux de perte des équipages était de 40 pour 100.(source :"La grande époque de la marine à voile" par Martine ACERRA et Jean MEYER.)
C'est le 14 nivose de l'an IV (04/01/1796) que Jean Baptiste BIBERON épouse à Port-Louis (Ile de France) Marianne DENIAU, née le 17/09/1763 à Saint-Pierre d'Oléron (Charentes-Maritimes), fille de
Pierre DENIAU,tisserand et de Magdeleine GILLES. Marianne DENIAU est veuve d' Henry CHELIN, officier de musique (sergent) de l'église, avec lequel elle a eu cinq enfants : Jacques, Jeanne,Antoine,François,et Pierre. Jean Baptiste BIBERON et Marianne DENIAU ne font pas de contrat de mariage. Le couple habite une maison avec ses dépendances louées aux citoyens GARREAU et GARY pour la somme de quarante cinq piastres par mois.
On a un aperçu de l'aspect de Port-Louis vers 1788 dans le livre de M. Auguste TOUSSAINT "Les frères SURCOUF", je cite :"Les administrateurs ont accompli de véritables transformations,
la pierre a remplacé le bois dans la construction des maisons qui ont presque toutes un étage. Les rues ont été rectifiées et élargies. L'église et le gouvernement ont été rénovés,
d'autres bâtiments importants s'y sont ajoutés : les casernes,l'intendance,la loge maçonnique de la triple espèrance,le café du commerce qui sert aussi de bourse.
( A mon avis Jean Baptiste BIBERON était membre d'une loge maçonnique car sa signature dans tous les actes comporte les trois points caractéristiques en forme de triangle.)
L'inventaire des biens de Jean Baptiste BIBERON et Marianne DENIAU effectué le 24/10/1800 par maître François ARNAUD et son confrère, notaires à l'îe de France nous donne une description
de la maison qu'ils occupaient :
-Une grande salle avec vingt-sept tableaux de diverses grandeurs, gravures et portraits, tous encadrés. A côté, un salon servant d'office.
-Une cuisine avec deux grils, six trépieds, une broche, un lèche-frite, deux braisières, un moulin à poivre, onze casseroles, un écumoire, deux marmittes
en cuivre petite et grande, une grande chaudière, une petite potiche.
-Dans la cave : deux barriques de vin blanc, une barrique de bière.
-Une salle de billard dans laquelle se trouvaient quatre canapés rotinés.-
-A l'étage, les appartements servant de chambres à coucher.
-Dans le grenier : deux tierçons de brai, dix sacs remplis de sucre, un sac de fil à voile de France,
divers outils, clous et fusils, une cafetière en fer blanc, un pot à bière et deux coffres vides. Plusieurs coffres et matelas en plus ou moins bon état appartenant à des marins embarqués
sur divers navires. Après son premier divorce le 9 brumaire de l'an V (30/10/1796), Jean Baptiste BIBERON achète une maison et ses dépendances,
rue du Sentier à Port-Louis ( Port Nord-Ouest) appartenant au citoyen CHENIER suivant un contrat reçu par maître DURAND et son confrère, le 15 frimaire de l'an V (05/12/1796),
qu'il loue à un dénommé PASCAL, vingt-cinq piastres par mois. -Une montre à boîtier d'or, une chaîne de montre également en or, une paire de boucles d'argent à souliers et deux couverts d'argent,
estimés ensemble à soixante piastres.
-Ses nippes, linges et gardes à son usage estimés à cent cinquante piastres effectives.
-La moitié indivise d'une maison, rue du Sentier, d'autre part il dote la future d'une somme de trois cents piastres.
Les biens apportés par Marianne DENIAU consistent en ses reprises résultant de la communauté qui a existé entre elle et Henry CHELIN,
dont un inventaire a été fait par maître BALU, le 26 frimaire de l'an IV (17/12/1795) et en la moitié indivise d'une maison, rue du Sentier.
Il a été stipulé une sorte de contrat en faveur du survivant de la valeur de deux cents piastres en linge, garde ou argent.
Le 17 floréal de l'an IX ( 07/05/1801) Jean Baptiste BIBERON et Marianne DENIAU divorcent à nouveau pour cause d'incompatibilité d'humeur et de caractère.
Le divorce fut établi pour la première fois par la loi du 20/09/1792. Il était prononcé par l'officier d'état civil, soit par suite de consentement mutuel
et sur la demande des deux conjoints, soit par la réquisition de l'un d'eux et sur la simple allégation d'incompatibilité d'humeur ou bien pour cause de démence, ou pour absence de l'un des époux
pendant cinq ans. Lorsqu'il existait des enfants du mariage dissous, les filles suivaient leur mère, les garçons au dessous de sept ans aussi. Au-dessus de sept ans, les garçons passaient
sous la direction du père.
La garde des enfants fut confiée à Marianne DENIAU, Jean Baptiste BIBERON s'étant engagé pour sa part à payer une pension de soixante piastres effectives par trimestre pour chacun des enfants.
(pension augmentée en fonction de ses moyens et de l'avancement en âge des enfants)
Lors du partage Jean Baptiste BIBERON reçoit le montant du prix de la maison s'élevant à deux mille quatre cent cinquante piastres, un fusil de chasse, un bureau et quelques
effets mobiliers laissés dans la maison dont il a fait l'acquisition, le tout évalué à l'amiable entre les parties à la somme de deux cent cinquante piastres.
Les documents font mention de "piastres effectives", c'est à dire de piastres d'Espagne qui resteront l'étalon monétaire en usage en Orient jusqu'au milieu du XIXème siècle.
De nombreux décès se produisaient dans les hôpitaux et frappaient les marins atteints par le scorbut ou la dysentrie au cours des traversées.
Jean Baptiste BIBERON fut le procureur ou exécuteur testamentaire de divers marins :
-Jean Baptiste Temesla MAURIN, timonier à bord de la frégate "La Forte",
-Louis TOREAU, patron de chaloupes et Jean BOUDIN, maître charpentier à bord de "La Princesse",
(Jean BOUDIN est décédé à Port-Louis, il a laissé à Jean Baptiste BIBERON une obligation de quatre-vingt quatorze piastres effectives ou neuf balles de café de Bourbon)
-Jean Joseph BAUDOIN, quartier-maître et François DENIAU, à bord de "La Vertu",
La Forte et La Vertu faisaient partie de la division de SERCEY qui vint mouiller le 18 juin 1796 à Port-Louis. Elle était commandée par le contre-amiral De SERCEY et transportait des troupes aux
ordres du général MAGALLON.
François DENIAU,né dans l'île d'Oléron vers 1740, fils de François, laboureur, et de Catherine AUBRIERE, avait certainement un lien de parenté avec l'épouse de Jean Baptiste BIBERON.
François DENIAU est décédé à Port-Louis le 9 germinal de l'an V (29/03/1797). Auparavant il avait signé une procuration passée par-devant maître CHASTEAU et son confrère,
notaires, le 22 messidor de l'an IV, portant disposition de ses dernières volontés en cas de décès en faveur de sa famille en France et avait nommé Jean Baptiste BIBERON
comme exécuteur testamentaire.
Sa succession s'est élevée à deux cents piastres effectives, quelques objets de peu de valeur dont la vente à l'encan suffira à peine à couvrir les frais,
ainsi qu'une somme de deux cent trente mille livres, papier monnaie qui fut retirée des décomptes de François DENIAU sur la frégate La Vertu.
Jean Baptiste BIBERON a été en affaires pour des envois de part et d'autre avec un dénommé DESCHAMPS,résidant dans l'île Bourbon.
Il était également en relation avec son frère qui réceptionna et vendit pour son compte à Lorient, pour la somme de trois mille neuf cent soixante quinze francs et vingt un centimes :
vingt cinq balles de café, embarquées à Port-Louis sur le vaisseau "L'Aurore".
Les études effectuées par M.M André VOVARD et Auguste TOUSSAINT sur la carrière du corsaire bordelais Jacques François PERROUD mentionnent que l'Aurore était un navire américain
(Capitaine SUTTER),armé à Philadelphie, qui fut capturé par PERROUD le 06/071799, après un bref combat et expédié à Port-Louis. Tout d'abord jugé et vendu, la Constituante le réquisitionna
pour conduire en France un groupe d'agitateurs. Le capitaine PERROUD en prit le commandement (lettre de marque de huit canons et trente hommes d'équipage)et quitta l'île de France le 23/10/1799,
et débarqua à Lorient le 09/05/1800 avec un chargement de denrées coloniales.
Jean Baptiste BIBERON s'était embarqué en qualité d'enseigne sur le Corsaire "L'UNI", sur lequel il avait fait embarquer également quatre noirs en qualité de
matelots : MANUEL, JUPITER, ANOR et LINDOR, dont les parts de prises lui revenaient.
Aux colonies, on pouvait recruter des créoles, des métis et des esclaves africains. Ces derniers étaient loués par leur maître comme "noirs de marine" pour la durée
d'une croisière ou encore fournis par les actionnaires en guise d'actions. Ils ne s'en plaignaient pas, au contraire, préférant "bourlinguer" sur les corsaires que de travailler sur les plantations.
Dans l'ouvrage de M. Auguste TOUSSAINT "Les frères SURCOUF", il est précisé que L'UNI était un vaisseau de vingt six canons, montant deux cent vingt hommes.
Arrivé de Nantes en 1798, son propriétaire et capitaine Jean-Marie LEROUX le réarma en guerre à Port-Louis. Le capitaine François LEMEME en prit le commandement et fit une première croisière
jusqu'au 25 octobre 1799, ensuite ce fut le capitaine HODOUL qui en prit le commandement pour une deuxième croisière et fut capturé par les anglais le 04/08/1800.
(Voir les renseignements concernant la prise de L'UNI -1°- ) Surcouf qui naviguait sur La Confiance,apprendra la capture de L'UNI par DUTERTRE, capitaine du Général Malartic, le 10/09/1800.
Seul LINDOR reviendra avec Jean Baptiste BIBERON, les trois autres noirs ayant été pris avec le corsaire. Je pense que Jean Baptiste BIBERON n'a pas fait la deuxième croisière
avec le capitaine HODOUL, pourtant je sais par un témoignage qui se transmet dans la famille de Madame Monique CLAUZON (née BIBERON)et qui m'a été communiqué par cette dernière, qu'un BIBERON
a été fait prisonnier par les anglais et connu les terribles pontons : il ne peut s'agir que de Jean Baptiste.
Pour être enseigne, il fallait passer un examen ouvert à tous les français ayant un minimum de quatre années de navigation, ceci grâce aux assemblées qui avaient voulu donner
à la marine une nouvelle organisation.
Jean Baptiste BIBERON possédait une action de cent piastres effectives sur le "Général Malartic" pour sa seconde course. Les croisières de SURCOUF
et DUTERTRE respectivement sur "La Clarisse " et "Le général Malartic" furent des expéditions très fructueuses en 1799.
Les armateurs de corsaires étaient pour la plupart des négociants dont la guerre arrêtait les activités. Ils se tournaient alors vers la course.
Les capitaines venaient en général de la marine marchande, c'était à ces derniers qu'étaient octroyées les lettres de marque. Ils se chargeaient du recrutement des officiers et matelots
afin d'établir un rôle d'équipages. Il y avait généralement dans l'état major : un capitaine, un second, au moins deux lieutenants, plusieurs enseignes, un capitaine des soldats ou volontaires,
rarement un aumônier, des matelots et mousses. La course était un travail d'équipe et exigeait une étroite collaboration entre le chef et ses subordonnés. Le corsaire portaient
de "menues armes" : espingoles, fusils, pistolets, sabres, baïonnettes et les fameuses haches d'abordage ainsi que des grenades servant à nettoyer le pont de l'adversaire avant l'assaut.
Lorsque les corsaires étaient pris par les anglais, la prison les attendaient, notamment les pontons anglais, qui étaient la terreur des marins français, anciens vaisseaux aménagés pour
servir de prisons flottantes dans divers ports du sud de l'Angleterre, tout particulièrement à Plymouth. Le partage, comme les autres opérations de l'entreprise, était stictement réglementé
et contrôlé. Les parts de l'équipage étaient attribuées en fonction du grade de chacun suivant un tarif fixé par l'ordonnance de 1681.
Jean Baptiste BIBERON avait fait une demande au préfet colonial pour obtenir la permission de subir l'examen nautique exigé par les lois de la marine
pour être reconnu habile à commander les bâtiments de commerce. L'examen eut lieu en public dans le local de l'école de la marine à Port-Louis en présence du professeur d'hydrographie
et de quatre capitaines de la marine marchande, les citoyens : C.DUPONT, Amable FRUCHARD, L.MOULIN, A.BROCHON, le 23 messidor de l'anXII (12/07/1804).
Le procès-verbal de l'examen en date du 28 messidor nous apprend que Jean Baptiste BIBERON a passé avec succès les épreuves. Un autre document confirme sa réussite,
il s'agit de l'enregistrement de la lettre de capitaine de commerce délivrée par le capitaine général des établissements à l'est du cap de Bonne Espérance, le capitaine DECAEN au citoyen BIBERON,
le 30 messidor (19/07).
Rôle d'équipages et documents d'armement ans VII à 1809 ( A.D de la Reunion,L 394, série période révolutionnaire) :
Ile Bonaparte, 1808, Saint-Denis
Rôle du chasse-marée "La Lucine du Port", de 25 tonneaux, armé par le sieur LE BIDAN et BIBERON, commandé par ce dernier, campagne commencée le 21 avril 1808 pour faire les voyages
autour de l'île et de l'île de France.
Officier : Jean Baptiste BIBERON de Bordeaux, 30 piastres par mois, débarqué à Saint-Denis le 17 août 1808.
-Un autre rôle du 20 avril 1808 pour un navire construit au quartier de la Rivière d'Abord et armé par le sieur LE BIDAN, pour se rendre au quartier Saint-Denis en cette île.
Officier : Jean Baptiste BIBERON de Bordeaux, 39 ans.
-En juillet 1808, Jean Baptiste BIBERON était capitaine d'un chasse-marée (petit bâtiment à 2 ou 3 mâts et gréement très simple, utilisé autrefois pour le petit cabotage.)
qui avait pour nom "Le Bâtard", et qui faisait la navette entre l'île Bonaparte et l'île de France.( renseignements qui m'a été transmis par la bibliothèque de Caen). Source : Alain Biberon Je pense que Jean Baptiste BIBERON a quitté l'île de France avant l'arrivée des anglais, je manque de renseignements à son sujet concernant cette période, je l'ai retrouvé
en France où il épouse le 14/04/1813 à Bordeaux, Marie BIROULEAU, fille de Jean, capitaine de navires et de Jeanne BIBERON.
La cérémonie de mariage a lieu en présence des sieurs : Gabriel DONNET, Pierre RECAPET, Jacques SELVE et Eusèbe Martin ROUILLET, militaires de la garde municipale.
En fin de cérémonie Jean Baptiste BIBERON déclare que Marie BIROULEAU est enceinte de ses oeuvres et qu'il reconnaît être le père de l'enfant qu'elle porte en son sein.
Avant le mariage Jean Baptiste BIBERON logeait au N° 7 de la rue Contrescarpe et Marie BIROULEAU au N°17 de la rue des Menuts. Le père de Marie et la mère de Jean Baptiste
refusèrent leur consentement malgré des actes respectueux notifiés par notaires (Après30 ans pour les hommes et 25 ans pour les femmes, un seul acte respectueux suffisait).
La mère de Marie fut consentante et fut présente lors de la rédaction du contrat de mariage par maître DESPIET, le 1er avril1813.
Jean Baptiste BIBERON reprend ses voyages. En 1821, il fait venir son épouse et ses trois enfants, nés à Rions (Gironde), à l'ile de la Réunion.
En 1823, il achète une maison et ses dépendances à Saint-Paul. Le passeport de Marie BIROULEAU en date du 21/07/1821 (A.D de la Gironde) nous donne son signalement :
1m 65, cheveux noirs, nez moyen, visage ovale, front large, yeux châtains, bouche moyenne, menton rond, teint clair.
Jean Baptiste BIBERON est décédé le 19/07/1826 à Saint-Paul (Ile de la Réunion) à l'âge de 59 ans. Il avait débarqué sur l'île pour la première fois lors de ses voyages en 1786.
Déclaration de décès en présence de René CHEVALIER et Alexandre SANGLIER.
Après sa mort, un inventaire a été dressé par maître CHAUVET, notaire à Saint-Paul, le 28/07/1826, ensuite conformément à la demande de ses héritiers représentés
par Jean Baptiste BIBERON fils, le terrain d'emplacement, bâtiments et dépendances ont été vendus par adjudication le 27 mai 1827(,après qu'une simple annonce ait été insérée
le mercredi 02/05/1827 dans la feuille hebdomadaire N° 435 de la colonie) à Monsieur Jean TETOS, propriétaire résident au quartier Saint-Paul, pour la somme de
trois mille cinquante francs. Le reste des biens furent vendus à l'encan le dimanche 01/04/1827, après la messe.
Nous avons une description de la maison de Jean Baptiste BIBERON à Saint-Paul :
Elle avait la forme d'un T, une partie en maçonnerie, une partie en charpente ayant 29 pas de facade sur la rue, divisée en cinq appartements.
Au bout de la maison, accolé à cette dernière, du côté de la mer, un petit appentis en charpente de 10 pas de long sur 8 de large couvert de bardeaux, un four en bon état.
Marie BIROULEAU, après la disparition de son mari, a continué à exercer son métier : commerçante (feuille de recensement:1828). Elle est décédée le 02/12/1855,
dans la maison de Jean CABANE de LAPRADE à Saint-Paul à l'âge de 69 ans.
Marianne DENIAU, la première épouse de Jean Baptiste BIBERON, (dont il avait divorcé par deux fois) avait épousé en troisièmes noces, un marchand Bernard NICOLEAU,
originaire de Bordeaux, fils d'Etienne et de Jeanne PETIT. Elle est décédé le 9/11/1821 à Port-Louis (Ile Maurice).
Recherches faites par Alain Biberon, CD du 22 février 2005, dossier : Descendance de Jacques Biberon. Source : Alain Biberon Voici trois générations de sa descendance.
1-Jean-Baptiste BIBERON n. 25 Oct. 1767, Bordeaux, France, d. 19 Juil. 1826,Saint-Paul, Ile de la Réunion + Marie Anne DENIAU n. 17 Sep. 1766, Saint Pierre d'Oléron, 17. France, d. 9 Nov. 1821, Port-Louis, Ile de France, par. Pierre DENIAU et Magdeleine GILLES
---11-Jeanne BIBERON n. 9 Août 1796, Port-Louis, Ile de France + Jean Marie DEMIANNÉE
---111-Jean Désiré DEMIANNÉE n. 1830 + Hélène D'UNIENVILLE
---1111-Hélène Noémie Louise DEMIANNÉE
---12-Jean-Baptiste BIBERON n. 4 Juil. 1798, Port-Louis, Ile de France, d. 6 Juin 1866, Sainte Marie île de la Réunion + Louise Modeste FENIOU n. 11 Juil. 1802, Saint-Denis, Ile de la Réunion, par. Michel FENIOU et Suzanne Modeste BOUYER
---121-Louise Modeste dite Louise Hermina BIBERON n. 29 Juil. 1821, Saint-Denis, Ile de la Réunion, d. 4 Avr. 1887, Sainte Marie île de la Réunion + Marie Calixte Derieul DE ROLAND n. 14 Oct. 1816, Saint-Denis, Ile de la Réunion, d. Juin 1880, Saint-Denis, Ile de la Réunion, par. Rieul Marie DE ROLLAND et Marie Anne LEVASSEUR
---1211-Louise Julie Derieul DE ROLAND n. 4 Jan. 1846, Sainte Marie île de la Réunion, d. 8 Août 1925, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1212-Jean Baptiste Prosper Alfred Derieul DE ROLAND n. 24 Nov. 1846, Sainte-Marie, Ile de la Réunion, d. 25 Juil. 1920, Saint-André, Ile de la Réunion
---1213-Marie Léonie Derieul DE ROLAND n. 27 Fév. 1848, Sainte Marie île de la Réunion
---1214-Caroline Amélie Derieul DE ROLAND n. 19 Avr. 1855, Sainte Marie île de la Réunion, d. 27 Avr. 1855, Sainte Marie île de la Réunion
---122-Marie Elisabeth Estelle BIBERON n. 14 Mars 1823, Saint-Denis, Ile de la Réunion, d. 13 Oct. 1857, Sainte Marie île de la Réunion + Ignace SLAWECKI n. 31 Juil. 1802, Volkynie, Pologne, d. 17 Déc. 1857, Salazie, Ile de la Réunion
---1221-Marie SLAWESKI n. 15 Jan. 1853, Sainte Marie île de la Réunion, d. 9 Juil. 1928, Sainte Marie île de la Réunion
---1222-Thaddée SLAWESKI n. 16 Jan. 1854, Sainte Marie île de la Réunion, d. 12 Août 1911, Melbourne Australia
---1223-Estelle Elisabeth Anna SLAWESKI n. 9 Oct. 1857, Sainte Marie île de la Réunion, d. 21 Août 1900, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---123-Jean Baptiste BIBERON n. 23 Mars 1825, Saint-Denis, Ile de la Réunion, d. 9 Sep. 1825, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---124-Louise dite Iris BIBERON n. 5 Août 1826, Saint-Denis, Ile de la Réunion + Charles César CHANIOT n. 28 Déc. 1819
---125-Catherine Ezilda BIBERON n. 14 Nov. 1828, Saint-Denis, Ile de la Réunion + Jean Baptiste Henry Alfred D'ESMENARD n. 10 Déc. 1821, Montois-la-Montagne, Moselle, France
---1251-Marie Louise Nanette D'ESMENARD n. 13 Oct. 1849, Pondichéry, Inde
---1252-Gabriel Jean Baptiste Gustave D'ESMENARD n. 21 Juil. 1851, Pondichéry, Inde
---1253-Isabelle D'ESMENARD n. 15 Jan. 1859, Sainte Marie île de la Réunion, d. 8 Fév. 1860, Sainte Marie île de la Réunion
---1254-Estelle Philiberte Césarine D'ESMENARD n. 25 Nov. 1860, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1255-Denis Benjamin Emmanuel D'ESMENARD n. 3 Nov. 1862, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1256-Jean Baptiste Albert D'ESMENARD n. 26 Jan. 1863, Sainte-Marie,Ile de la Réunion
---126-Marie Ernestine BIBERON n. 17 Mars 1830, Sainte-Marie, Ile de la Réunion, d. 21 Oct. 1830, Sainte Marie île de la Réunion
---127-Louise BIBERON n. 2 Oct. 1831, Sainte Marie île de la Réunion + Marie Vincent De Paul MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 13 Sep. 1820, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion
---1271-Marie Isabelle MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 29 Nov. 1850, Sainte Marie île de la Réunion, d. 6 Avr. 1852, Sainte Marie île de la Réunion
---1272-Isabelle Marie Matilda MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 29 Nov. 1853, Sainte-Marie, Ile de la Réunion
---1273-Marie Françoise Isabelle Jeanne MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 7 Avr. 1856, Sainte Marie île de la Réunion, d. 7 Mars 1914, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1274-Marie Vincent De Paul MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 16 Nov. 1858, Sainte-Marie, Ile de la Réunion, d. 17 Avr. 1860, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion
---1275-Isabelle Marie Françoise Antonie MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 7 Avr. 1860, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion
---1276-Louise Julie Marie Berthe MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 13 Mars 1862, Sainte Marie île de la Réunion, d. 1928, Ile Maurice
---1277-Marie Vincent De Paul Trevet MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 23 Oct. 1863, Sainte-Marie, Ile de la Réunion
---1278-Ermance MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 24 Sep. 1865, Sainte Marie île de la Réunion
---1279-Marie Joséphine Estelle MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 10 Avr. 1867, Sainte Marie île de la Réunion, d. 5 Déc. 1867, Sainte-Marie, Ile de la Réunion
---127A-Joseph Gabriel Marie Vincent De Paul Charles MEZIERES DE LE PERVANCHE n. 6 Avr. 1869, Sainte-Marie, Ile de la Réunion, d. 15 Sep. 1921, Tamatave, Madagascar
---128-Rosine Marie Elisabeth Anaïs BIBERON n. 17 Avr. 1833, Sainte Marie île de la Réunion + Jean Baptiste Jacques Adolphe BIBERON n. 19 Juil. 1835, Saint-André, Ile de la Réunion, par. Jacques BIBERON and Louise Modeste Léoncine TESSIER
---1281-Joseph Raoul BIBERON n. 19 Mars 1860, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion, d. 8 Fév. 1861, Sainte Marie île de la Réunion
---1282-Jean Baptiste Arthur BIBERON n. 22 Fév. 1864, Sainte Marie île de la Réunion, d. 1927
---1283-Louis Lucien BIBERON n. 31 Oct. 1865, Sainte Marie île de la Réunion, d. 14 Avr. 1897
---129-Jean-Baptiste BIBERON n. 14 Oct. 1835, Sainte Marie île de la Réunion, d. 19 Août 1902, Victoria, Australie + Eléonore SAUZIER n. 2 Août 1840, Grand-Port, Ile Maurice, d. 17 Oct. 1932, Melbourne Australia, par. Théodore SAUZIER et Eleonore CHENAUX
---1291-Marie Catherine Angèle BIBERON (BIBRON) n. 10 Oct. 1862, Sainte-Marie, Ile de la Réunion, d. 10 Avr. 1907, Dromana, Victoria, Australia
---1292-Marie Anne Paula BIBERON (BIBRON) n. 20 Oct. 1863, Sainte Marie île de la Réunion
---1293-Marie Vincent De Paul Jean Baptiste Théodore BIBERON (BIBRON) n. 2 Mai 1865, Sainte-Marie, Ile de la Réunion, d. 1951, Dromana, Victoria, Australia
---12A-Camille BIBERON n. 25 Avr. 1839, Sainte Marie île de la Réunion, d.26 Déc. 1897, Adelaide, Australie + Charles Théodore Edouard SAUZIER n. 29 Avr. 1836, Grand-Port, Ile Maurice, d. 26 Déc. 1909, Curepipe, Ile Maurice, par. Théodore SAUZIER et Eleonore CHENAUX
---12A1-Georges SAUZIER n. 1858, Ile de la Réunion, d. 1909, Australia
---12A2-Gabriel SAUZIER n. 1859, Ile de la Réunion, d. 1917, Seychelles
---12A3-Jean Adrien SAUZIER n. 16 Juil. 1862, Pamplemousses, Ile Maurice, d. Déc. 1939, Sydney, Australie
---12A4-Louis Henry SAUZIER n. 1863, Adelaide, Australie, d. 1935, Ile de la Réunion
---12A5-Marie Vincent Paul William SAUZIER n. 15 Avr. 1866, Ile de la Réunion, d. 20 Avr. 1922, Marseille, B-d-R, France
---12A6-Marie Epaminondas Philomène Augustine SAUZIER n. 4 Mars 1870, Ile Maurice, d. 20 Avr. 1922, France
---12B-Jules Blaise BIBERON n. 4 Sep. 1841, Sainte Marie île de la Réunion + Marie Louise Nanette D'ESMENARD n. 13 Oct. 1849, Pondichéry, Inde, par. Jean Baptiste Henry Alfred D'ESMENARD etd Catherine Ezilda BIBERON
---12B1-Jeanne BIBERON n. 27 Avr. 1868, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---12B2-Catherine Iris BIBERON n. 11 Juin 1870, Saint-Denis, Ile de la Réunion, d. 30 Août 1871, Sainte Marie île de la Réunion
---12B3-Anne Marie Thérèse BIBERON n. 28 Mars 1873, Sainte Marie île de la Réunion
---12B4-Marthe Louise Marie BIBERON n. 18 Juin 1877, Sainte Marie île de la Réunion
---13-Jacques BIBERON n. 10 Avr. 1800, Port-Louis, Ile de France, d. 6 Jan. 1859, Saint-André, Ile de la Réunion + Louise Modeste Léoncine TESSIER n. 18 Déc. 1806, Saint-André, Ile de la Réunion, par. Unknown et Louise Modeste Cèlerine TESSIER
---131-Louise Modeste Célerine BIBERON n. 26 Nov. 1826, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 23 Fév. 1898, Saint-André, Ile de la Réunion + Pierre Hyacinthe Victor Rieul DE ROLAND n. 27 Sep. 1824, Saint Benoît, La Réunion, d. 4 Avr. 1887, Sainte Marie île de la Réunion, par. Pierre Honoré Victor DE ROLAND et Marie Marguerite Sidonie LE FLEM
---1311-Jean DE ROLAND d. 25 Juil. 1920, Saint-André, Ile de la Réunion
---1312-Marie Leoncine Derieul DE ROLAND n. 1 Juin 1851, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 1 Mai 1915, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1313-Louis Jacques Pierre Victor Hyacinthe Rieul DE ROLAND n. 25 Août 1852, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 7 Avr. 1854, Saint-André, Ile de la Réunion
---1314-Louise Marie Sidonia DE ROLAND n. 3 Avr. 1854, Saint-André, Ile de la Réunion
---1315-Joseph Hyacinthe Victor Rieul DE ROLAND n. 23 Oct. 1855, Saint-André, Ile de la Réunion
---1316-Anne Marie Louise Modeste DE ROLAND n. 4 Mars 1859, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 1901
---1317-Pierre Camille Victor DE ROLAND n. 10 Oct. 1860, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion, d. 29 Déc. 1906, Saint-André, Ile de la Réunion
---1318-Joseph Marie DE ROLAND n. 9 Oct. 1862, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion, d. 27 Juin 1901, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1319-Paul Pierre Rieul DE ROLAND n. 8 Mars 1864, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion, d. Nosy Be, Madagascar
---131A-Pierre Marie Gertrude Stanislas DE ROLAND n. 25 Nov. 1865, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion
---131B-Marie Louise Elisabeth DE ROLAND n. 6 Mai 1870, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 23 Jan. 1963, Aix-en-Provence, France
---132-Lodoiska Modeste Léoncine BIBERON n. 9 Jan. 1829, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 17 Mai 1872, Saint-Benoît, Ile de la Réunion + Pierre Louis Edouard DE ROLLAND n. 5 Sep. 1827, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 25 Mars 1898, Saint-Denis, Ile de la Réunion, par. Pierre Honoré Victor DE ROLAND et Marie Marguerite Sidonie LE FLEM
---1321-Louise Modeste Sidonie DE ROLAND n. 7 Fév. 1850, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 14 Fév. 1936, Tananarive, Madagascar
---1322-Pierre Louis Léon DE ROLAND n. 14 Fév. 1852, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 9 Déc. 1913, Saint-André, Ile de la Réunion
---1323-Pierre Louis Honoré Edouard DE ROLAND n. 10 Juin 1853, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 10 Mai 1910, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1324-Marie Louise Modeste Victoria DE ROLAND n. 23 Avr. 1855, Saint-Benoît, Ile de la Réunion
---1325-Louise Modeste Lodoiska Léontine DE ROLAND n. 5 Avr. 1857, Saint-Benoît, Ile de la Réunion, d. Apr, 1909, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1326-Marie Anna DE ROLAND n. 6 Oct. 1858, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 18 Nov. 1858, Saint-André, Ile de la Réunion
---1327-Marie Marguerite Léonia DE ROLAND n. 15 Déc. 1859, Saint-Benoît, Ile de la Réunion, d. 1948, Tananarive, Madagascar
---1328-Marie Anna Angèle DE ROLAND n. 3 Sep. 1861, Saint-Benoît, Ile de la Réunion, d. Saint-Benoît, Ile de la Réunion
---1329-Marie Angèle Anne dite Angelina DE ROLAND n. 23 Jan. 1863, Saint-Benoît, Ile de la Réunion, d. Saint-Denis, Ile de la Réunion
---132A-Marguerite Alphonsine Marie DE ROLAND n. 23 Nov. 1864, Saint-André, Ile de la Réunion, d. Tananarive, Madagascar
---132B-Rieul Pierre Joseph DE ROLAND n. 18 Sep. 1866, Sainte-Suzanne, La Réunion
---133-Jean-Baptiste Jacques BIBERON n. 12 Déc. 1831, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 8 Sep. 1913, Bras Panon, La Réunion + Marie Henriette LEMEUR n. 30 Juil. 1832, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 15 Fév. 1885, Dzaoudzi, Comores, par. François Henry Nicolas LEMEUR et Marie Feneviève Evelina LAURATET
---1331-Céleste Marie Françoise BIBERON n. 24 Avr. 1857, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 14 Nov. 1936
---1332-Charles Jacques Jean Baptiste BIBERON n. 5 Fév. 1859, Saint-André, Ile de la Réunion, d. Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1333-Marie Angèle BIBERON n. 14 Sep. 1860, Saint-André, Ile de la Réunion
---1334-Octave Adolphe BIBERON n. 27 Fév. 1862, Saint-André, Ile de la Réunion
---1335-Marie Aline BIBERON n. 14 Oct. 1863, Saint-André, Ile de la Réunion, d. Tananarive, Madagascar
---1336-Marie Henrietta BIBERON n. 23 Fév. 1865, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 26 Mai 1949, Tananarive, Madagascar
---1337-Henri Jacques BIBERON n. 16 Jan. 1867, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 29 Août 1912, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1338-François Benjamin Jacques BIBERON n. 2 Fév. 1869, Saint-André, Ile de la Réunion
---1339-Louis Jacques Benjamin BIBERON n. 1 Déc. 1870, Saint-André, Ile de la Réunion
---134-Jean Baptiste Jacques Adolphe BIBERON n. 19 Juil. 1835, Saint-André, Ile de la Réunion + Rosine Marie Elisabeth Anaïs BIBERON , par. Jean-Baptiste BIBERON et Louise Modeste FENIOU
---135-Modeste Marianne Léoncine Louise BIBERON n. 20 Sep. 1836, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 20 Sep. 1836, Saint-André, Ile de la Réunion
---136-Marianne Léoncine Louise Modeste BIBERON n. 20 Sep. 1836, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 2 Fév. 1880, Saint-André, Ile de la Réunion + Pierre Marie Emile DE ROLLAND n. 18 Juin 1832, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 22 Fév. 1857, Saint-André, Ile de la Réunion, par. Pierre Honoré Victor DE ROLAND et Marie Marguerite Sidonie LE FLEM
---1361-Léopold DE ROLAND n. 22 Déc. 1858, Saint-André, Ile de la Réunion
---1362-Marie Emilie DE ROLLAND n. 12 Déc. 1860, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 21 Sep. 1862, Saint-André, Ile de la Réunion
---1363-Pierre Emile DE ROLAND n. 14 Août 1862, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 3 Nov. 1920, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---1364-William Joseph DE ROLAND n. 1 Fév. 1864, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 4 Avr. 1865, Saint-André, Ile de la Réunion
---1365-Ludovic Honoré DE ROLAND n. 27 Août 1865, Saint-André, Ile de la Réunion, d. Saïgon Indochine
---1366-Louise Anne Marie DE ROLAND n. 14 Mai 1868, Saint-André, Ile de la Réunion
---1367-Louise Modeste Adèle DE ROLAND n. 23 Juin 1870, Saint-André, Ile de la Réunion
---1368-Louise DE ROLAND n. 30 Nov. 1872, Saint-André, Ile de la Réunion, d. Apr, 1911
---1369-Pierre Jean Joseph Baptiste DE ROLAND n. 16 Mars 1875, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 25 Juil. 1920, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---136A-Jeanne Marie Zélina DE ROLLAND n. 27 Oct. 1876, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 25 Jan. 1946, Saïgon Indochine
---136B-Benjamin Benedict DE ROLAND n. 1 Fév. 1880, Saint-André, Ile de la Réunion, d. Av. 1935, Saïgon Indochine
---137-Jean Baptiste Jacques Leonel BIBERON n. 5 Jan. 1839, Saint-André, Ile de la Réunion + Marie Philomène Désirée Alice DE ROLAND n. 23 Sep. 1843, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 8 Mars 1873, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion, par. Pierre Honoré Victor DE ROLAND et Marie Joséphine Amélie NOBLET DE PENHOAT
---1371-Jean Michel BIBERON n. 30 Oct. 1863, Saint-André, Ile de la Réunion
---1372-Lise Léoncine Amélie BIBERON n. 25 Sep. 1864, Saint-André, Ile de la Réunion
---1373-Jacques Jean Baptiste Amédée BIBERON n. 11 Août 1868, Sainte-Suzanne, La Réunion
---1374-Ernestine Alice BIBERON
---1375-Jacques Jean Baptiste BIBERON
---138-Jean Baptiste Jacques BIBERON n. 5 Déc. 1840, Saint-André, Ile de la Réunion
---139-Jean Baptiste Guillaume Amédée BIBERON n. 1841, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 12 Oct. 1845, Saint-André, Ile de la Réunion
---13A-Marie Louise Adelina BIBERON n. 27 Déc. 1843, Saint-André, Ile de la Réunion, d. Oct. 1845, Saint-André, Ile de la Réunion
---13B-Léoncine Angela BIBERON n. 26 Jan. 1846
---13C-Clélie Isabelle BIBERON n. 25 Fév. 1848, Saint-André, Ile de la Réunion + Rosnay Martin Alphonse Vincent MEZIERES DE LÉPERVANCHE n. 6 Juin 1834, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 1884
---13C1-Marie Ermance MEZIERES DE LÉPERVANCHE n. 24 Sep. 1865, Sainte-Marie, Ile de la Réunion
---13C2-Marie Javotte MEZIERES DE LÉPERVANCHE n. 15 Mai 1866, Saint-André, Ile de la Réunion
---13C3-Jacques Vincent De Paul Alexis MEZIERES DE LÉPERVANCHE n. 14 Mai 1867, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 1908
---13C4-Simon MEZIERES DE LÉPERVANCHE n. 1870, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 1907
---13C5-Julie Marie Bazalmine MEZIERES DE LÉPERVANCHE n. 11 Mars 1873, Saint-André, Ile de la Réunion
---13C6-Adrien MEZIERES DE LÉPERVANCHE n. 13 Déc. 1875, Saint-André, Ile de la Réunion
---13D-Jean Baptiste Charles BIBERON n. 10 Août 1853, Saint-André, Ile de la Réunion + Ange Julienne Mélanie Caroline PRUD'HOMME n. 1849, Saint-André, Ile de la Réunion
---13D1-Elisabeth BIBERON n. 15 Juil. 1876, Saint-André, Ile de la Réunion
---13D2-Jacques Félix Victor BIBERON n. 26 Juin 1878, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 21 Jan. 1879, Saint-André, Ile de la Réunion
---13D3-Jacques Victor BIBERON n. 15 Août 1880, Saint-André, Ile de la Réunion
---13D4-Louise Caroline Elisa BIBERON n. 29 Oct. 1886, Saint-André, Ile de la Réunion
---13D5-Ange Modeste Auguste Marianne BIBERON n. 8 Jan. 1891, Sainte Suzanne, Ile de la Réunion, d. 10 Avr. 1891, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---14-Aimée BIBERON n. 17 Juin 1813, Rions, 33, France, d. 8 Juin 1827, Saint-Paul, Ile de la Réunion
---15-Antoine Emedée BIBERON n. 20 Oct. 1815, Rions, 33, France, d. 23 Fév. 1888, Saint-Paul, Ile de la Réunion
---16-Guillaume Emilien BIBERON n. 1 Avr. 1817, Rions, 33, France, d. 31 Juil. 1856, Saint-André, Ile de la Réunion + Marie Anne Suzette LE HIRE n. 1 Sep. 1817, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 30 Juil. 1881, Saint-Paul, Ile de la Réunion, par. Jean-Michel LE HIRE et Marie Anne Théophile CALVERT
---161-Marie Emelina BIBERON n. 15 Fév. 1847, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 4 Fév. 1928, Saint-Paul, Ile de la Réunion + Achille Damien Fulbert BÉNARD n. 23 Fév. 1857, Saint-Joseph, Ile de la Réunion, b. 11 Avr. 1857, d. 15 Juil. 1885, Saint-Paul, Ile de la Réunion + (2) Grégoire RETOUT
---1611-Emmanuel Jean-Baptiste BÉNARD n. 8 Mars 1886, b. 23 Mai 1886, Saint-Paul, Ile de la Réunion, d. 27 Mars 1963, Saint-Denis, Ile de la Réunion
---162-Jean-Baptiste Julien BIBERON n. 7 Oct. 1849, Saint-André, Ile de la Réunion
---17-Louis René BIBERON n. 17 Juil. 1823, Saint-Paul, Ile de la Réunion, d.16 Jan. 1873, Saint-Paul, Ile de la Réunion Source : Alain Biberon. Jean Baptiste Jacques BIBERON (1831-1913) petit-fils de Jean Baptiste BIBERON (1767-1826) Jean Baptiste BIBERON était un homme très grand et très imposant. Il avait des plantations de vanille.Un document retrouvé dans les Archives Notariales indique qu'il avait acheté un terrain à Saint-André près de la Ravine Sèche, le 30 Juin 1858 à Madame Adeline VINCENT, veuve de Pierre DESRUISSEAUX, suivant contrat passé devant Me Aristide LOUPY, notaire à Saint-André.
Son épouse Marie Henriette LEMEUR était de petite taille. Recherches faites par Alain Biberon, CD du 22 février 2005, dossier : Descendance de Jacques Biberon. Henri Jacques BIBERON (1867-1912)
fils de Jean Baptiste Jacques BIBERON (18312-1913) Henri Jacques BIBERON était propriétaire de plantations de vanille, mais aussi d'ylang-ylang et de géranium rosa (plante à parfum).
Lorsqu'il courtisait Marie Julie RIVIERE de CHAZALON, on prétendit qu'il ne s'intéressait qu'à son argent. Afin de mettre un terme à
l'accusation dont il faisait l'objet, il acquit une fortune équivalente à la dot de sa bien-aimée avant de l'épouser.
Je tiens cette histoire de divers membres de la famille, elle est probablement vraie car la famille RIVIERE de CHAZALON était fortunée.
En 1912, Henri Jacques BIBERON, en défrichant de nouvelles terres pour ses cultures avait découvert une anguille énorme. Après l'avoir assommée,
il l'avait attachée derrière sa voiture à cheval, afin de la montrer à ses amis. Mais l'anguille revenant à la vie, fit un mouvement qui provoqua
l'emballement du cheval. Mon arrière-grand-père qui s'apprêtait à monter dans sa voiture, eut le pied pris dans le marche-pied, fut traîné et sérieusement
blessé à la tête. Il mourut quelques jours plus tard des suites de cet accident, il avait quarante cinq ans. Marie Julie RIVIERE de CHAZALON,
qui était une femme d'une grande générosité éleva seule ses enfants, mais elle n'avait aucun sens des affaires. Lorsque son fils Antoine fut
en âge de s'occuper des propriétés, il était déjà trop tard. D'autre part, certaines habitations brûlèrent mystérieusement.
A la mort de Marie Julie RIVIERE de CHAZALON en 1928, tous les biens furent vendus pour éponger les dettes. Recherches faites par Alain Biberon, CD du 22 février 2005, dossier : Descendance de Jacques Biberon. Accès aux pages de la descendance d' Antoine Biberon Regardez aussi quelques photos de la collection d'Alain Biberon. Vous pouvez contacter Alain Biberon : Alainbib@free.fr ou visiter son site http://alainbib.free.fr
Les embarquements s'effectuaient en général à Dieppe.
Je pense qu'il a dû débarquer dans le Nouveau Monde à l'automne 1754 avec l'un des régiments suivants : De la Reine, du Béarn, du Languedoc,
de Guyenne, de la Sarre, du royal Roussillon,(mais plus vraisemblablement de Guyenne étant originaire de Bordeaux.), qui furent commandés tour
à tour par DIESKAU, MONTCALM,et LEVIS. Les troupes de la colonie, en grande partie françaises avaient des commandants de naissance canadienne.
De 1754 à 1757, je n'ai aucun renseignement sur la vie d'Antoine BIBERON à la Nouvelle-France.
En 1758, je l'ai retrouvé à Trois-Rivières, où il est soldat de la compagnie de Cabanac, et comme tout soldat à cette époque, il est doté d'un surnom : "D'Argencourt".
Antoine BIBERON dit d' Argencourt faisait partie des troupes françaises de la marine relevant directement du secrétaire d'état à la guerre, mais dont les équipements et la solde étaient prélévés
sur le budget de la marine.
A la Nouvelle-France,les soldats en garnison dans un poste bénéficiaent d'un traitement de choix.
Chaque soldat avait son petit jardin à l'extérieur du fort et pouvait le cultiver à sa guise. La paie d'un soldat était de cinq sous par jour, et
s'élevait jusqu'à trente quand il réalisait un ouvrage particulier pour le Roi. Il recevait pour son équipement tous les ans : un gilet, une casquette,
un chapeau, une paire de culottes, une cravate, deux paires de chaussettes ,deux paires de souliers,et tous les ans : une nouvelle capote.
Quand un soldat tombait malade, il était soigné au frais du Roi qui lui fournissait : le lit, la nourriture,
les remèdes, les infirmiers. Les militaires qui n'étaient pas en courses ou cantonnés dans un poste, étaient logés chez les paysans canadiens,
où ils jouissaient d'une sécurité matérielle, d'un confort relatif et rencontraient parfois l'amour.
En septembre 1760, trois gouvernements militaires furent créés, Ralph BURTON fut nommé à Trois-Rivières.
Officiers administrateurs et soldats français pouvaient retourner dans leur pays. Les chefs de colonie ont choisi de partir, quant aux habitants,
qui avaient le choix, ils ont préféré garder leurs maisons, biens, effets et privilèges. Ils ont déposé les armes et prêté le serment d'obéissance à l'Angleterre.
En 1759, Antoine BIBERON a abandonné la carrière militaire, les actes le concernant mentionnent qu'il est à présent : menuisier. ( On constate qu'il s'est
touné vers le métier exercé par son père à Bordeaux). Je suppose qu'il n'avait que des notions de menuiserie, car en septembre 1760, il se rend à Quebec
pour apprendre le métier. Ce n'est qu'en 1772, qu'il est qualifié de maître menuisier dans les actes.
- Le 9 septembre 1759, Antoine BIBERON, menuisier et Joseph BERIAU également menuisier, résidant aux Forges de Saint-Maurice signent un bail à loyer devant le notaire
Joseph BERIAU s'engage à louer sa maison et les terrains dépendants, situés rue du Côteau à Trois-Rivières à Antoine BIBERON pour deux ans suivant certaines clauses et conditions .
(La lecture de l'acte nous apprend qu'Antoine BIBERON connaissait bien cette maison, il y habitait déjà depuis un an, et s'estimait satisfait et content .
Clauses et conditions:
La première année Antoine BIBERON n'aura pas de loyer à payer en échange de travaux à effectuer dans la maison à ses frais, c'est-à-dire :
-Achever les planchers hauts et bas.
-Fournir les lambourdes
-Faire une cloison du côté sud-ouest sur toute la longueur d'un pignon à l'autre, et dans la cloison en question, créer deux cloisons de travers pour former trois cabinets.
-Faire deux portes en bois neuves, dont une à panneaux couverts et l'autre à queue d'aronde vitrée.
-Faire en haut une cloison qui forme un tambour entre la chambre et la cuisine.(Pour ce travail Antoine BIBERON est autorisé à utiliser toutes les planches susistantes dans la maison.)
-Latter et enduire toutes les cloisons.
-Faire trois portes neuves d'assemblage avec leurs chambranles et sur les portes existantes, poser une croisée neuve avec les ferrures.
-Effectuer tous les enduits et crépis dans la maison à ses frais.
-Réaliser un escalier pour monter au grenier à l'endroit convenant le mieux.
-Achever la cave avec une trappe.
-Raccommoder lors du prochain été la cheminée, sans être tenu de remplacer les planches et les clous cassés.
Joseph BERIAU s'engage à fournir 62 madriers de 10 pieds, dont 22 sur place, et 40 au moulin de la Croix, qu'Antoine BIBERON devra voiturer à ses frais, de plus il s'engage à fournir toute la ferrure et les clous nécessaires.
La seconde année Antoine BIBERON n'aura à payer qu'un loyer de douze livres par mois.
Autre condition particulière : Dans l'hypothèse que Joseph BERIAU soit obligé de revenir habiter sa maison à Trois-Rivières, il n'aura rien à payer pour son lit et son travail.
Les maisons étaient en bois et résistaient bien au froid, mais il y avait un risque constant d'incendie.
La cheminée, unique moyen pour se chauffer était en pierres. En raison des hivers rigoureux, il fallait garnir l'intérieur de la maison de lattes de bois sur lesquelles étaient appliquées un plâtre ou un crépi à base de glaise.
Le 13 septembre 1760, les héritiers de Guillaume VACHER LACERTE :
Charles AUCLAIR, Catherine VACHER LACERTE son épouse, Antoine BIBERON, Claire VACHER LACERTE son épouse et Joseph VACHER LACERTE autorisent le notaire public de la juridiction royale
de Trois-Rivières à vendre un emplacement ayant appartenu à Guillaume VACHER LACERTE
depuis plus de trente ans sur lequel a été incendié une maison et étable et dont le titre a brûlé.
(Cet emplacement a été vendu à François RIMBAULT, chirurgien de la Rivière du Loup, pour la somme de quatre cents livres.)
D'après un acte passé devant le notaire royal de la province de Quéebec, le 10 octobre 1765,
Antoine BIBERON achète une maison tombant en ruine sur un emplacement situé dans le quartier du Marquisat du Sablé aux héritiers de la veuve Guillaume VACHER, dont les noms suivent :
-Jean MALBOEUF (marié avec Magdeleine ROBERT)
-Joseph MALBOEUF
-Angélique MALBOEUF (épouse de Jean Baptiste DUMAS )
-Jean Baptiste CONSTANTINEAU (veuf de ? MALBOEUF)
-François MALBOEUF
(pour la somme de 18 livres payés à chacun)
Jean PROUX de la Basse-terre, tuteur de Jean baptiste et Joseph LACERTE, enfants mineurs de feu Jean LACERTE, maître tailleur,
agissant pour sa nièce Josette LACERTE, majeure, nomme par devant le notaire de la ville de Trois-Rivières, le 16 mars 1776, Antoine BIBERON,
procureur général et spécial pour louer ou vendre une maison située à Trois-Rivières, et faire quelques réparations absolument nécessaires.
(Le subrogé tuteur des enfants mineurs était François DAGNAU)
Le 17 janvier 1774, Antoine BIBERON dit d'Argencourt s'engage devant le notaire public de Trois-Rivières à effectuer des travaux dans une maison de
28 pieds de long et 20 pieds de large, située à Trois-Rivières, appartenant à Jean MAC ECHEN, résidant à la baie Saint-Antoine, pour la somme de cent vingt
shillings de la province, dont la moitié en argent et l'autre en denrées ou marchandises au prix du cours.
Travaux à réaliser :
-Une couverture embouvetée avec l'ouverture du carreau de vitre à chaque.
-Sept contrevents et chasses neufs de cinq verses de haut,le dit verse de 6/7 pouces, et les dits chasses fait à plaintes, lesquels bien ferrés.
-Les cloisons à reposer et les embouvetures nécessaires.
-Les portes et les chambranles à reposer, et les travailler à pouvoir les faire servir, si les chambranles existantes ne sont plus bonnes, en fabriquer des neuves.
-Une grande porte d'entrée à panneaux couverts, dans la mesure du possible en deux corps ,autrement en un seul.
-Un escalier couvert pour monter au grenier.
-Une table de 3 pieds de long et proportionnée en largeur avec un tiroir en dessous.
(Pour tous ses travaux Jean MAC HECHEN s'est chargé de fournir la ferrure, les bois propres et nécessaires).
Antoine BIBERON dit d'Argencourt est certainement décédé avant 1798, car il n'est pas mentionné dans l'acte concernant le second mariage de sa fille Marie-Claire.
Source : Alain Biberon
1-Jean-Baptiste BIBERON n. 25 Oct. 1767, Bordeaux, France, d. 19 Juil. 1826,Saint-Paul, Ile de la Réunion + Marie BIROULEAU n. 16 Oct. 1786, Bordeaux, France, d. 2 Déc. 1855, Saint-Paul, Ile de la Réunion, par. Jean Baptiste BIROULEAU et Jeanne Marie BIBERON
Voici leur descendance :
1-Henri Jacques BIBERON n. 16 Jan. 1867, Saint-André, Ile de la Réunion, d. 29 Août 1912, Saint-Denis, Ile de la Réunion + Antoinette Augustine Charlotte Julie Marie RIVIÈRE DE CHAZALON n. 27 Jan. 1879, Saint-Benoît, Ile de la Réunion, d. 13 Août 1928, Saint-Denis, Ile de la Réunion, par. Charles Marie Dauphin RIVIÈRE DE CHAZALON and Marie Alida DOMENJOD
|---11-Jules Antoine Jacques BIBERON n. 7 Juil. 1898, Bras Panon, La Réunion
|---12-Henriette Charlotte Marie BIBERON n. 6 Mai 1900, Bras Panon, La Réunion, d. 1 Mars 1967, Tananarive, Madagascar
|---13-Jacques Henri André Antoine BIBERON n. 31 Mai 1902, Bras-Panon, Ile de La Réunion, d. 28 Juil. 1969, Vigneux sur Seine, 91, France
|---14-Marie Henriette Antoinette Ida Gilberte BIBERON n. 11 Juin 1904, Bras Panon, La Réunion, d. 27 Déc. 1969, Champigny sur Marne, 94, France
|---15-Jacques Antoine Henri Roland BIBERON n. 15 Juil. 1908, Bras Panon, La Réunion, d. 28 Avr. 1945, Saint-Paul, Ile de la Réunion
|---16-Henriette Marie Bernadette Ida BIBERON n. 25 Nov. 1909, Bras Panon, La Réunion
